Voici un PPH de belle taille, que le pékin moyen ne s'offre pas tous les jours - heureusement pour la morale et la police, ajouteront les bien-pensants.
En effet, le plaisir de s'empiffrer (notre chapitre VIII) ne se limite pas à la bonne chère. Les malfrats qui, en s'introduisant par les caves, ont vidé les coffres du Crédit Lyonnais de l'avenue de l'Opéra pendant le week end se sont goinfrés... Argent, bijoux, pierreries et Dieu sait quoi encore : s'ils parviennent à écouler tout leur butin sans se faire prendre, ils auront décroché le PPH de la semaine.
S'empiffrer avec un scénario à la Audiard
RépondreSupprimerça c'est vraiment PPH !
Olivier