À chaque jour ses petits plaisirs honteux

Gens célèbres ou anonymes, nous avons tous nos PPH.
Qu'elle se situe à l'autre bout du monde ou sur notre palier,
l'actualité en fabrique à la chaîne et enrichit sans cesse notre Bréviaire.


6 mai 2010

Fâchés, nous ? Jamais !

Quelle période excitante pour les amateurs de PPH ! Jour après jour, la presse apporte sa cargaison de matières premières.
Voyez les rumeurs de tension entre Johnny Hallyday et son producteur Jean-Claude Camus : tout est faux.
"Je continue à te faire confiance, je t'embrasse et je t'aime", écrit le premier au deuxième qui, "effaré", soupçonne le fils du premier (vous suivez ?), lequel "ferait mieux de s'occuper de son disque qui vient de sortir et qui ne marche pas très bien".
Ca, c'est envoyé !
N'écoutez pas les bruits de discorde entre Nicolas Sarkozy et son ami Brice Hortefeux : tout est faux.
"On est de vieux amis. Dix générations de journalistes ne pourront pas nous fâcher", a juré hier le président... non sans déplorer parfois certains propos du second (NDLR : devant un jeune Beur), lequel a d'ailleurs reconnu (vous suivez toujours ?) : "quand on exerce une fonction ministérielle, l'expression est publique et personne ne peut s'en exonérer". Mea culpa.

Arrêtons là. Il est très vilain d'attiser les querelles de famille.
Mais, quand même, quel plaisir !


3 commentaires:

  1. Franchement et sans honte, Monsieur le Bréviaire, reconnaissez que parfois vous êtes un peu comme la vieille commère du village qui observe toutes les chicaneries et en jubile...

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  2. Je ne voudrais pas en rajouter, malgré le plaisir qu'on éprouve à attiser les querelles, mais on dit qu'entre Johnny et Nicolas... il y aurait maintenant de l'eau dans le gaz.
    Ce n'est peut-être qu'une rumeur.

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